FAQ
Questions / Réponses
Ingrédients
Nous n’utilisons pas de gélatine d’origine porcine dans nos produits. Elle est très souvent d’origine marine mais peut parfois être d’origine végétale ou bovine.
Non, le panthoténate de calcium est l’autre nom de la vitamine B5.
Plusieurs motivations peuvent amener à faire évoluer nos produits. D’une part, nous sommes très soucieux de suivre la réglementation en cours, nous pouvons donc lorsque c’est nécessaire, substituer un ingrédient par un autre. D’autre part, nous suivons de très près les évolutions scientifiques dans notre domaine et nous pouvons avoir de nouvelles études mettant en avant l’intérêt d’un composant ou d’un dosage précis. Dans ce cas, nos formulations évoluent pour être toujours à la pointe.
En fonction de la concentration que nous souhaitons atteindre, nous utilisons des sardines, des maquereaux, des saumons, des harengs ou des thons. En effet, la teneur en acides gras oméga-3 varie selon le type de poisson utilisé. Par exemple, le thon est particulièrement riche en DHA alors que le maquereau est riche en EPA et DHA.
Produits
Léro Flore ATB se prend de préférence à distance de la prise d’antibiotiques (2h) pour une meilleure efficacité du produit.
La quantité de calories apportées par une capsule varie selon le produit. Elle est en moyenne de 4/5 calories ce qui correspond à 1 g de sucre (un petit morceau de sucre équivaut à 5 g).
La durée des prises est variable selon les produits et leur objectif. Elle varie de 5 jours à 6 mois. Il est très important de bien respecter les conseils d’utilisation propres à chaque produit afin d’optimiser ses bénéfices ou bien de suivre scrupuleusement, le cas échéant, les conseils de votre médecin ou de votre pharmacien.
Les tailles de nos capsules diffèrent en fonction des dosages des micronutriments utilisés. Léro D.N.V est fortement concentré en huile de poissons, ingrédient qui nécessite beaucoup de place. Nous vous conseillons de prendre votre capsule de Léro D.N.V avec un grand verre d’eau au cours d’un repas. Vous pouvez, toutefois, percer la capsule et verser son contenu huileux dans votre plat afin de l’absorber en mangeant. Nous vous mettons cependant en garde contre le goût et l’odeur de l’huile de poisson fortement concentrée.
Nos produits sont en vente dans toutes les pharmacies et dans la plupart des parapharmacies. Votre pharmacien peut, également, commander notre gamme chez son grossiste. Trouvez la pharmacie la plus proche de chez vous ou acheter directement en ligne nos produits via le site nos partenaires.
La capsule peut, si nécessaire, être coupée et le contenu versé dans un yaourt ou des légumes, pour en faciliter la prise. Cependant dans ce cas, certains composants fortement concentrés peuvent avoir un goût fort. En particulier les huiles de poisson, le cuivre et le zinc.
Sécurité
Non, il est tout à fait possible d’associer homéopathie et compléments alimentaires. Ceci est fréquemment proposé par les médecins dont c’est la spécialité.
Le fer n’altère pas la qualité de la vitamine C et bien au contraire. L’absorption du fer est stimulée par la présence de vitamine C. En revanche, il est important de prendre des compléments alimentaires apportant du fer dans des quantités qui respectent les recommandations. De plus, il est inutile de consommer plusieurs produits contenant du fer afin d’éviter le surdosage et ses inconvénients.
Nous sommes très vigilants sur la qualité des ingrédients que nous utilisons pour la fabrication de nos produits. Nous possédons tous les contrôles exigés par la réglementation européenne et la teneur en mercure des huiles de poissons de notre gamme est très en dessous du seuil fixé par cette réglementation.
Oui, les compléments alimentaires sont de qualité. Les compléments alimentaires disposent d’une réglementation européenne spécifique (directive 2002/46/CE) et d’un décret français (2006-352) qui définissent leur cadre d’utilisation et un certain nombre d’obligations légales strictes en termes d’étiquetage, d’ingrédients pouvant être utilisés et de dosages à respecter. Les compléments alimentaires doivent, par ailleurs, faire l’objet de déclaration auprès de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) qui examine leur composition et répondent aux exigences de traçabilité et de qualité spécifique. Un système d’assurance qualité permet d’assurer la traçabilité et de garantir l’hygiène et la sécurité des compléments alimentaires. Seuls les ingrédients ayant fait l’objet d’une autorisation d’emploi peuvent être utilisés par les industriels. Les réglementations française et européenne imposent donc des exigences élevées en matière de qualité et de sécurité des compléments alimentaires et de protection du consommateur.
Les compléments alimentaires ne sont pas toxiques. Ils permettent d’apporter à chacun un concentré de nutriments, dans le but de compléter ou de prévenir des besoins réels ou supposés. Les compléments alimentaires se situent dans une zone d’apport sans danger pour la santé. En effet, les doses de nutriments contenus dans les compléments alimentaires sont largement inférieures aux premières doses toxiques observables et doivent respecter les apports journaliers recommandés.
Afin d’éviter tout risque de surdosage, il est recommandé de bien étudier les compositions avant d’associer des compléments alimentaires afin de ne pas retrouver de dosage important de l’un des micronutriments. De plus, il est conseillé de respecter une pause de quelques semaines entre deux cures.
Même si les compléments alimentaires ne sont pas toxiques, certains symptômes non habituels peuvent survenir. L’apparition de ces symptômes doit vous amener à en informer un professionnel de santé (votre médecin traitant, votre pharmacien d’officine…). Il vous aidera à identifier la cause de l’effet indésirable observé. Le professionnel de santé aura, le cas échéant, la possibilité de déclarer les effets indésirables à l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Il existe, en effet, en France un dispositif unique en Europe qui permet de déclarer les effets indésirables liés à la consommation ou l’utilisation de compléments alimentaires : le système national de déclaration dénommé « nutrivigilance » mis en place et confié à l’ANSES, par la loi Hôpital, Patients, Santé et Territoires (loi HPST) de juillet 2009. La déclaration des effets indésirables liés à la consommation de compléments alimentaires permet d’identifier ces effets et d’améliorer la sécurité du consommateur.